Il n'aimait pas cet endroit. Il lui rappelait un certain événement et surtout ce masque à tête de nounours. Qui aurait cru que sur les rives tranquilles du fleuve, Poséidon aurait été par deux fois témoins de la décandence des humains? Aujourd'hui, l'herbe était d'un vert lumineux grâce aux rayons du soleil. Parmi l'herbe folle, on pouvait apercevoir des fils mouillés , l'araignée y avait fait sa toile et attendait qu'une innocente bestoile vienne s'y prendre. En contemplant cette toile, Alessandra songea que le monde était pareil. Chacun tendait sa toile en espérant y attraper quelque chose. La différence entre le monde animal et le monde humain, c'était bien que l'animal tuait pour se nourrir. Ici dans la toile humaine, les motivations étaient plus parfois plus sordides , parfois elles échappaient à l'entendement humain parce qu'elles étaient l'oeuvre d'un fou, d'un Illuminé. Le massacre de l'Adige semblait avoir été savement orchestré. On ignore qui et pourquoi il avait eu lieu. L'enquête piétinait toujours. A l'époque, on avait interrogé les témoins. Alessandro en avait fait partie. Mais le gamin, n'avait eu que deux visions à l'esprit : celle de son père offrant sa vie pour le sauver et celle de ce masque de nounours avec un sourire qui ne laissait présager rien de bon. On aurait pu s'attendre à ce qu'il ne remonte pas la pente , qu'il reste prisonnier de sa peur et finisse par se terre chez lui de peur qu'un jour, on se souvienne qu'il avait été un témoin. Mais l'enfant avait grandi et il n'était pas traumatisé. Il n'avait qu'une rage folle envers les coupables non identifiés. La vengeance était présente seulement il refusait aussi, paradoxalement, de ne se laisser omnibuler que par elle. Il voulait vivre parce qu'au fond, cela aurait servi à rien que son père lui offre sa vie, si c'était pour qu'il fasse semblant de vivre.

L'Adige était calme, le soleil glissait dessus doucement, comme un nénuphar sur l'eau. Le fleuve offrait son corps , sans fausse pudeur, aux caresses de l'astres solaire. Il tourna la tête à gauche et aperçut la Basilique ou plutôt il voyait son dôme qui semblait vouloir percer le ciel, pour le percer comme une baudruche. Le marchand de glace qu'il était, fumait tranquillement devant sa fourgonette, se laissant aller à la rêverie. Un filet de fumée s'échappa de sa cigarette. Il venait d'émettre un long soupire. Dans peu de temps, il lui faudrait reprendre le boulot. Il aimait son métier car déjà il aimait les glaces et qui plus est, il n'était pas la marionnette de sa famille richissime. Il ne s'était pas vraiment endurci, comme s'était endurci Eros, l'homme rencontré sur la grande place. Ils venaient du même monde et pourtant leurs caractères étaient diamétralement opposés. Il se demanda si Eros était toujours friand de pomme d'amour et s'il le reverrait. Il ne le pensait pas. Le brun n'avait pas l'air d'être un homme facile d'accès. Il songea aussi au policier dont il ignorait l'identité. Celui-là à moins qu'il se souvienne qu'enfant, il avait été témoin de l'évènement de l'Adige, il ne le reverrait probablement pas non plus. La vie n'était faite que de rencontres et de croisement. Il en avait croisé des personnes, sans jamais vraiment liées d'amitié avec elle ou même plus. Il devait les faire fui, avec ses yeux écarlates. Ne l'avait on pas baptisé l'Enfant Maudit, le Mauvais Présage ou encore plus connement l'Enfant du Diable? S'il avait été vraiment l'Enfant du Diable, il aurait pu empêcher que la mort vienne faucher ses parents seulement les gens n'y pensaient pas. Ils étaient aveuglés par la rage et seul leur rage comptée, celles des autres, ils n'en avaient pratiquement rien à carrer. La nature humaine est égoiste alors cela ne servait à rien d'espérer d'elle plus que ce qu'elle pouvait offrir.

Le soleil allait bientôt s'enfoncer dans le corps de l'Adige. Il avançait dangeureusement vers les eaux mouvantes, comme un papillon de nuit s'approche trop de la lampe. Croiserait il encore quelqu'un aujourd'hui? Il y avait fort peu à parier. En général, les gens n'aimaient pas trop s'attarder dehors, depuis la tragédie. Du reste, qui les en blamerait ?

Bon .. le soleil était bientôt coucher, les gens rentre tous chez eux .. Je vais pouvoir sortir me dégourdir les gens. Je me levais et sorti du petit entrepôt abandonné, c'est la que je résidait. Ce n'est pas luxueux mais c'est mon chez moi. J'y est amené un canapé et plusieurs bricole trouver dans les décharge, c'est fou ce que peuvent jeter les gens. Tout sa parce que le cuir était un peu abîme dans un coin et hop on jettes et on change .. quel bande de friqué. Je m'étirais, et alla rendre visite à mon amie Shiki, c'est le chat qui vit avec moi dans l’entrepôt, lui est moi on est de suite devenue amie. J'ai l'impression qu'on a subit tout les deux des choses pas très jolies dans la vie. Alors maintenant on se soutien. Il se frotta à mes jambes en ronronnant, je souris faiblement et lui donna un morceau de viande.

Il miaula comme pour me répondre, je le caressa encore un peu et alla enfiler ma large veste. Je sorti de l’entrepôt, et me dirigea vers l'Adige un endroit pas vraiment apprécié par les gens d'ici. Mais moi ce qu'il c'était passé auparavant ne m’intéresser guère. Au moins je pouvait être sur que la bas personne ne viendrait me déranger. J’avançais, une main dans la poche et l'autre sur mon arme, j’aperçus soudain quelqu'un pas très loin de moi. Mais qui peut il y avoir encore de sortie à cette heure ci et ici ? Je m’avançais et me rendit compte que c'était un simple vendeur de glace. Je soupira et m’avança vers lui, je ne m'étais encore jamais acheter une glace et j'avais quelque pièce en poche, je profita donc et lui demanda un glace. Il était vraiment rare que je m'adresse à des personne. Allait il neiger un jour d'été ?

Comment fallait il faire ? Je n'avais encore jamais rien demander à personne, j'avais déjà observer les gens acheter des choses, mais je ne l'avais encore jamais fait et je dois avouer que j'étais plutôt stresser. Je regardais l'homme en face de moi, ma main alla se poser sur mon arme. Je réagissait toujours comme sa quand je n'étais pas à l'aise. Si il faisait le moindre faut pas, ce type aller se retrouver une balle dans le crane juste parce que j'étais stresser .. Décidément je me trouver bien pitoyable ce soir.

Je vis bien qu'il avait remarqué que j'étais armé, mais cela m'importé peu, cela m'arrangeais même peut être ainsi ne m’embêterait il pas d'une quelconque manière et ferait en sorte que la conversation soit brève. Malheureusement non. Il semblait même n'y prêter que peu d'importance, bah c'est tout à son honneur. Très peu de personne aurait réagis comme lui la fait, soit ils se seraient enfuis ou alors il m’aurait sauté dessus et ensuite appelé les flics. En plus je n'avais pas vraiment l'envie de tuer aujourd'hui, je voulais plus passer une soiré tranquille. Pour en revenir au glace. Je réfléchis un moment, et à son sourire et sa dernière phrase, je répondit en lui lança un petit regard de défis.

Vous savez le genre de réaction qui vous fait comprendre que votre avis importe peu eh bien la c'était le cas. Je voulais qu'il arrête maintenant son char, c'était mieux pour lui. En plus je n'avais pas tellement d'argent à dépenser. Je croisais les bras, attendant qu'il me serve. Ce genre de type m'énerver facilement. En tout cas le type avait été surpris de voir quelqu'un ce baladé ici à cette heure la qui plus est. Cela me fit sourire, j'avais l'habitude de toujours faire le genre de chose que personne n'osait faire. Mais .. lui que faisait il ici ?

J'avais demander cela sans trop m'en rendre compte, je n'avais pas l'habitude de poser des questions. Mais parfois ma curiosité l'emporté. Je le fixé dans les yeux, ceux ci étaient d'une lueur rouge étrange, c'est bien la première fois que je vois sa .. et je dois avouer que c'est plutôt envoûtant. Il avait une expression de gaminerie sur le visage, mais au fond .. dans ses yeux je voyais plus un enfant blessé.

Bien apparemment il était assez intelligent pour se rendre compte qu'il valait mieux ne pas rigoler avec moi et me laisser tranquille. Je ne sais pas pourquoi, mais sa réponse me fit frissonner, je le regarda dans les yeux. J'aimais vraiment beaucoup ceux ci .. et si je lui prenais. J'esquissa un sourire à cette pensé, a quoi cela me servirait si je n'est pas l'ensemble. Le prix qu'il m’annonça était vraiment ridicule, je lui donna un peu plus qu'il m'en demandait, et lui lança un regard disant qu'il ferrait mieux de ne pas refuser. Apres cela, je pris le cornet qu'il me tendait. Je regarda la glace un peu bizarrement. Comment faisait il déjà les enfants ? ah oui ! je croqua dedans et fit la grimace presque aussitôt.

Je lécha mes lèvres, et ensuite la glace. Ah oui c'était comme sa ! c'est mieux. Uhm qu'est ce que c'est bon. J'ai rarement l'occasion de mangeait des choses aussi bonne. Je lécher goulûment ma glace, puis mes doigts car celle ci fondait un peu avec la chaleur qu'il faisait encore en cette soiré d'été. Je me souvins des parole du type précédemment et arrêta de déguster ma glace, je me mit a le fixer de nouveau et lui demanda en baissant les yeux sur ma glace.

Je ne savais pas trop ce que cela faisait ce genre de chose, mais d’après ce que j'ai entendu sa fait mal. Mais comment le fait de perdre quelqu'un pouvait vous faire ressentir de la douleur ? Avoir mal c'est quand on se fait tirer dessus ou taper. Alors comment cela peut il nous blesser ? Serait ce intérieurement ? Décidément je ne comprenais vraiment pas.

Je posais cette question en le regardant de nouveau dans les yeux. Mon regard fut détourné quand je sentit la glace fondre sur mes mains, je m'activa a lécher mes doigts et le cornet. C'était vraiment bon, et cela réchauffer un peu mon coeur.

Un frisson me parcourue quand son regard s'assombrit pour devenir rouge sang. Quel regard fascinant, oui décidément je l'aime beaucoup. Je regarda l'endroit qu'il me désignait et m'imaginait le massacre que cela avait dut être. Je le regarda de nouveau, quand il ricana. Apparemment il y avait encore quelque chose, mais il ne voulait pas en parler .. uhm quelque chose d'encore plus blessant surement.Alors oui sa fait mal .. culpabilise ? uhm encore un mot bien compliqué pour moi.

C'est bizarre comme la vie de ce type pouvait m’intéresser, je voulais savoir ce qu'il ressentait. Il se fit une glace pour lui aussi, elle était de couleur rouge, rose, de la fraise surement. Je ne me gêna pas et prit sa main pour goûter celle ci. Uhm !! vraiment extra ce gout la aussi. Décidément j'aime beaucoup les glaces et je pense que je vais avoir du mal à m'en passer maintenant. Je lâcha sa main à sa question, a mon tour, mon regard s'assombrit. Je détourna le visage et fixa un point invisible. Je lui répondit d'une voix vide d'émotion.

Je le fixa de nouveau dans les yeux, mon regard lui faisait comprendre que je disais la vérité, je me fichais de ma famille de ce qui a bien put leur arriver. Je ne cherche pas à savoir tout sa, je vie au jour le jour maintenant. Je prit de nouveau sa main pour lécher sa glace, et lécha la mienne ensuite. Je lui tendis après cella ma glace pour qu'il la lèche aussi. Je faisais cela en tout innocence, tel un enfant qui ignore tout de la vie.

J'étais absolument absorbé par ses paroles, j'enregistrer celle ci. J'étais comme un enfant à qui l'on devait tout apprendre. Mon vase de savoir n'était que peu remplis, et à chacune de mes rencontres, j'en apprenais d'avantage. Mais parfois cella arrive que celui ci se renverse .. et dans ses cas la vous oubliez tout. C'est surement cela qui sait passer avec moi il y a quelques années.

Je me rendait bien compte que tout ce qu'il me disait était du vécu, et je pouvais lire dans ses yeux qu'il en souffrait énormément. Mais je ne comprenais pas comment quelqu'un pouvait sacrifier sa vie pour une autre. Même si cette personne la tenait à l'autre, je trouvais cela complètement invraisemblable et totalement idiot.

Je le regardais intrigué par ses nouvelles paroles. ''Une fleur solitaire parmi l'herbe folle'' ; ''Personne nait sans émotion. Tes émotions sont encore en graine. Un jour peut être,, elles refleuriront''. J'avais un peu du mal à comprendre ce qu'il voulait dire par la, mais je comprenais assez.

Je ne sais pas pourquoi, mais j'aimais beaucoup les images qu'il prenait pour parler, cela m'aider beaucoup à comprendre. Je le regardais lécher ma glace et esquissa un sourire, chose extrêmement rare ! Je regardait ensuite nos glace, tentant de comprendre ses paroles.

Je me sentit bizarre a la suite de ses paroles, je me sentit .. toute légère mais aussi mal à l'aise. Mes joues était chaude, et je n'osais plus le regarder dans les yeux. Je ne comprenais pas bien ce qu'il m'arrivait, et cela me faisait un peu peur. La seul chose que j'arriva à lui répondre fut un bref.

J'eu un frisson alors qu'il parlait d'être enterré vivante, je ne sais pas pourquoi mais je me m'imagina la scène et bizarrement j'avais comme une vague impression de déjà vus. Je fit en sorte de vite oublier tout sa.

Beaucoup de personne me fuyait quand je tenter de discuter avec eux, j'avais a ce qui parait une tout autre vision des choses. Et cela les effrayer. Mais moi je voulais comprendre, apprendre. Pour une fois que je tombe sur quelqu'un qui veuille bien m'instruire, je n'allait pas fuir ou le tuer comme je faisait avec les autres gens à qui j'adressait la parole d'habitude.


Le faite qu'il me compare à une fleur me rendait heureuse, je me disait que au fond, je pouvait encore poussé, évolué. Que je n'étais pas plus idiote que les autres et que je pourrait même en surpasser beaucoup.

Sa façon de penser m'éblouissait, Avec lui je comprenais vraiment tout, il arrivait à trouver les bon mots, les bonnes métaphores, comparaison pour me faire comprendre.

Je poussa un soupire d'abandon, je le regarda ensuite attentivement quand il se baissa pour ramasser quelque chose. Je m’avança quand il me fit signe de regarder, et je put voir dans ses mains une jolie mésange. Je la regardais de mes yeux d'enfants émerveiller, et la regarda s'envoler un sourire sur les lèvres.

Luis dis je en souriant en faisant référence avec ce qu'il venait de me dire précédemment. Je le regardait paisiblement dans les yeux. Je n'est encore jamais était comme cela avec quelqu'un, ses sentiments sont tout nouveaux pour moi et cela m'effraie. Mais je lui fait confiance, je sais ou du moins je pense, que à ses coté je ne risque rien et je peut baisser un peu ma garde.

Je comprit bien mieux avec son exemple de la glace, car malgré mes nombreuses exploration dans les musée, je ne voyait pas ce qu'était un tableau ou une peinture. Je finie ma glace, il ne restait quasiment plus que le cornet à moi aussi. Une fois terminer je me lécha les lèvres tout en continuant de l'écouter attentivement. Je m’avança soudain vers lui et m'abaissa pour écouter son coeur, je ferma les yeux pour me concentrer, écoutant les battements de celui ci. Je me redressa et lui sourit.

Je regardais moi aussi le fleuve, je sentait vraiment sa douleur, sa détresse et la haine qu'il avait en lui. Je posa ma main sur la sienne et lui fit un faible sourire. Je ne savais pas trop ce qu'il fallait faire dans ces moments la, mais je voulais vraiment l'aider à aller mieux.

Je le regardais surpris quand il me dit que j'étais une personne rare. Moi qui me suis toujours comparé à un résidu inutile que l'on avait jeter, mais pas assez broyé pour être morte. Ces paroles me réchauffer, je me sentais un peu plus sur de moi.

Le rouge me monta de nouveau au joue, encore plus qu'avant, je le fixait dans les yeux. Le baisé qu'il posa sur ma main me traversa littéralement dans tout le corps. ''Princesse des Lys'' je trouver ses mots un peu fort pour me représenter, mais j'aimais bien. Il me fit encore un peu plus rougir quand il dit qu'il voulait continuer a entendre le son de ma voix, je sentit ma gorge se serrer à tout ses mots. Je lui fit un petit sourire et répondit.

Ne sachant quoi faire, j'alla lui déposer un baisé sur la joue, un peu maladroitement et pas sur de moi. Je détourna vite le regard, me mordant la lèvre inférieur. Je ne savais vraiment pas ce qu'il fallait faire dans ces moments la, je me sentait un peu perdue.

Alors mon coeur n'était pas vide ? j'avais un peu du mal a le croire. Moi qui tue les gens sans aucune pitié, sans savoir si ils ont une famille ou autre. La seul fois ou mon coeur ma fait du mal c'est lors de la mort de cette homme qui m'a aider à mon réveil .. J’appréciais le geste de sa main dans mes cheveux, c'était agréable et je fermais les yeux pour apprécier un peu plus.

Vraiment ces paroles me comblait de bonheur et me réchauffer. J'avais .. j'avais envie de le prendre dans mes bras, ce que je fit un peu hésitante, je posa ma tête sur son épaule. Je sentait encore la douceur de ses lèvres sur mon front, c'était si doux si délicat.

J'eu un petit rire nerveux, mes bras enlacer ses épaules, je fermais les yeux et respira sont odeur, même sont parfum était doux et m'apaisé. J'imita sont geste qu'il avait fait de passer sa main dans mes cheveux. Je ne comprenais pas trop ce que sa avait comme signification ni pourquoi il l'avait fait, mais je savais que sa faisait du bien alors je lui refit.

Cela me fit énormément plaisir, moi qui d'habitude ne pouvait compter que sur moi même, aujourd'hui je pouvais enfin avoir quelqu'un d'autre sur qui compter. Je sentait que ma vie allait énormément changer avec lui, j'allais pouvoir souffler, apprécier un peu la vie ... J'aimais beaucoup ces baisé, ils étaient très doux et me faisait frissonner.

Je sentit me coeur se gonfler, pouvoir être a ses coté me comblé. J'allais enfin pouvoir sortir de cette solitude qui me ronge. Quand j'étais à coté de lui, j'avais l'impression d'être baigné de la lumière qu'il dégage. Je le regarda écrire son adresse sur un bout de papier, je pris celui ci et le regarda, il avait une très belle écriture pour un homme. Je rangea le bout de feuille dans la poche de ma veste.

Soudain des coups de feu se fit entendre. Je n'étais pas vraiment effrayer, j'avais l'habitude de ce genre de chose. mais cette fois ci j'avais quelqu'un à protéger et non pas à tuer. Je ne tenais pas à ce qu'il lui arrive quelque chose. Il ne lui arrivera plus jamais rien maintenant que je suis à ses coté. Je lui suivit sagement et monta dans sa camionnette, elle était plutôt spacieuse vu de l'intérieur ! Je lui demanda.

Le faite que je dorme dans un entrepôt parut l'étonner un peu, pourtant moi cela ne me faisait pas bizarre. Je me disais que l'habitation était souvent à l'image de la personne elle même. Alors se vieux entrepôt abandonné et délabré me correspondait plutôt bien. Son regard c'était adoucit quand il parla de sa mère et des souvenirs de famille qu'il avait chez lui. Sa douleur .. je la partageais, pourtant je n'avais rien avoir avec lui, je veux dire on est pas la même famille, mais pourtant j'ai l'impression de ressentir sa douleur au plus profond de moi.

J'avais l'impression de le voir au travers des yeux de Alessandro quand il parlait d'elle. Il était vraiment attaché à elle sa se lis dans son regard. Quand il parla de son père, la douleur fut encore plus forte à mon gout, je regarda au loin alors qu'il me parlais du rêve de son père qui était de fuir cette ville. Je pris la main d'Aless dans la mienne et la sera. Je lui fit un large sourire et lui dit.

Je lui dit oui d'un signe de tête. Je voulais vraiment allez chez lui, découvrir dans qu'elle condition il habitait. Je n'avais encore jamais vus l'intérieur d'une maison. Je suis sur que la sienne doit être splendide ! Je me souviens de ce type qui ma sauvait quand j'étais petite, il ne m'avais jamais accordé l'entré a sa maison. Il m'avait également expliquer qu'il était absolument interdit d'entré dans une maison sans en avoir était invité .. Je n'ai jamais sus pourquoi, mais depuis j'ai toujours appliqué cette règle.